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Le Front National dit NON à l’installation des clandestins à Lourdes

vendredi 6 mai 2016 par Rédaction

Ce vendredi matin, Olivier Monteil, secrétaire départemental du Front National des H-P, conseiller régional (Languedoc Roussillon Midi-Pyrénées) et Alain Ligonnière, secrétaire de section FN à Lourdes, ont tenu une conférence de presse pour exprimer leur hostilité à l’installation de clandestins à Lourdes.

En ouverture de la conférence de presse, Olivier Monteil a exprimé ses condoléances à la famille du jeune Luigi Guardiera, mort à 23 ans sous les coups de poings et de pieds d’une bande de racailles à Tarbes. « Tristesse et colère. Tristesse pour lui et sa famille brisée. Colère contre le laxisme généralisé qui sévit partout en France (Nuit debout, réformes pénitentiaires, etc.) et qui fait de nos villes la proie de la racaille », a souligné le secrétaire départemental du FN.

Olivier Monteil a enchaîné avec un point de sémantique : « certains médias, notamment audio-visuels, usent de logomachie pour désinformer sur la réalité des problèmes de la France : ainsi parle-t-on de « migrants » au lieu d’immigrés, et de « réfugiés » au lieu de clandestins, dans le but d’apitoyer et d’influencer les populations en les culpabilisant pour accepter des clandestins chez eux.

Or l’entrée illégale sur le territoire français s’appelle l’immigration clandestine et nécessite, de par la loi, une reconduite à la frontière.

Les clandestins sont orientés vers la demande d’asile par les associations de soutien aux clandestins, mais ce ne sont pas des « réfugiés » tant que ce statut ne leur a pas été accordé. Je rappelle d’ailleurs que le 26 janvier, la Commission Européenne a déclaré par sa porte-parole Natasha Bertaud, que « 60% des migrants arrivés en Europe en décembre dernier ne devraient pas obtenir le droit d’asile », envisageant alors de suspendre Shengen pour 2 ans.

On nommera donc les choses par leur nom, sans le travestir, on parlera donc de « clandestins ».

L’ouverture d’un CADA à Lourdes

« Comme à Tarbes et Lannemezan, Lourdes s’étant portée volontaire par la grâce de sa seule maire et sans le moindre avis des habitants, la cité mariale est donc dotée d’un CADA ouvert cette année boulevard du Lapacca (23), géré par l’association privée France Terre d’Asile (mais très largement subventionné par l’Etat : 54 M d’€ de budget, financé à hauteur de 70% par le ministère de l’intérieur).

13 sites OPH, 7 appartements loués dans le secteur privé.

La méthode de l’Etat et de la mairie est inqualifiable : les citoyens n’ont été ni consultés ni avertis ! Nul doute que s’ils avaient été consultés, ils auraient répondu sur l’accueil des migrants comme toutes les enquêtes d’opinion : sondage du ter février 2016, 26% seulement sont favorables à accueillir davantage de migrants et 77% sont favorables à l’expulsion des migrants déboutés du droit d’asile.

Rue des Chalets comme au quartier Labastide, tout cela a été tenu secret, y compris auprès des riverains et des copropriétaires. C’est une véritable honte, un mépris total de la population ! D’ores et déjà, madame Bourdeu peut préparer ses valises pour 2020, elle vient de perdre tout espoir de conserver sa mairie et les 30% d’électeurs FN lourdais ne manqueront pas de le lui faire savoir.

Autre méthode inqualifiable, la propagande : madame la Préfète avait orchestrée un coup médiatique en visitant une famille de Kurdes irakiens à Tarbes pour faire pleurer dans les chaumières...Mais ...5000 km pour se « réfugier » ? De qui se moque-t-on ?

Regardez le cas des Chrétiens d’Orient, authentiquement martyrisés, persécutés, assassinés, crucifiés, abandonnés de tous ! ils restent très majoritairement en Orient malgré tout alors qu’ils sont réellement ceux qui pourraient prétendre à être accueillis chez nous, tous les pays musulmans du Golfe ou du Maghreb ainsi que la Turquie persécutant les Chrétiens.

Ce que ne dit pas la Préfète : où sont passés les 20 migrants accueillis en catimini fin janvier à 06h du matin à Tarbes ? Il ne reste que la famille kurde et tous les autres (tous célibataires !), dont une majorité de Koweitiens (en quoi le Koweit est-il en guerre ou persécute-t-il ses habitants ?), qui ont disparu dans la nature...

Pure opération de « com » donc de madame la Préfète.

A Lourdes, qui sont les migrants clandestins ? Pourquoi héberge-t-on des Algériens actuellement rue des Chalets ? Les Algériens fuient-ils la guerre en Syrie ? De qui se moque-t-on ?

Ce travestissement, cette occultation de la réalité de l’immigration clandestine qu’on nous impose veut surtout cacher l’injustice flagrante qui s’accroit désormais entre le traitement réservé chez nous à nos compatriotes dans le besoin, au chômage ou en attente de logement social, et celui offert aux clandestins :

- 1000 € de dotation par logement d’hébergement de migrants clandestins, versé par l’Etat à la mairie. Rénovation des logements loués (électricité complète rue des Chalets) aux frais du contribuable qui finance les CADA,

- Logement gratuit pour les clandestins,

- Prise en charge de la scolarisation des enfants et de tous les frais de dossiers de demande d’asile,

- Alimentation gratuite pour les clandestins (allocation de demandeur d’asile ou ADA, soit plus de 200 € pour un célibataire, 300 € pour un couple et 700 € pour une famille). Qu’en pensent nos retraités agricoles par exemple, qui émargent à quelques 3 ou 400 € de retraite après toute une vie de labeur et d’impôts ?!!!

- 100% des soins médicaux gratuits pour les clandestins dès 3 mois de présence (AME) sans cotiser un seul centime à la sécurité sociale ni aux mutuelles (en 2009, AME= coût de 500 millions d’€ ; en 2015, AME= coût de 1 milliard d’€ pour 300 000 bénéficiaires !). Les citoyens français dont les frais sont de moins en moins remboursés, dont les tarifs de mutuelles s’envolent, apprécieront ! C’est parfaitement révoltant et injuste !

- A côté de cela, les Lourdais vont se voir gratifier d’une augmentation d’impôts de 16% sur la fiscalité de la CCPL, adoptée par la CCPL le 7 avril dernier !

Enfin, la question de la sécurité se pose : comment contrôler sérieusement, surtout en secteur privé, des résidents inconnus qui changeront tous les 2, 3 ou 6 mois selon les délais d’instruction de leurs dossiers de demande d’asile ? Comment prévenir les dégradations sur des sites où les résidents clandestins ne restent que quelques mois ?

Surtout, comment prévenir l’infiltration d’islamistes dans les rangs de ces clandestins ? Les attentats du Bataclan, pour ne citer que ces derniers, nous prouvent que c’est réel et que la probabilité de retrouver des terroristes islamistes parmi les clandestins est très forte.

Là encore, le silence et le mutisme de la mairie et du CADA sur ces sujets, qui préoccupent à juste titre les Lourdais, sont édifiants et scandaleux !

Les CADA sont des points d’entrée de clandestins. Par la grâce d’une mairie inconsciente et irresponsable, la pompe est désormais amorcée pour la première fois à Lourdes, la capitale catholique de la France, qui court le risque d’y voir se développer des communautés de clandestins musulmans.

La charité envers les personnes en détresse est un devoir. Encore faut-il qu’il s’agisse réellement de personnes en détresse et « persécutées dans leur pays d’origine » pour pouvoir légalement prétendre au droit d’asile.

Mais la responsabilité des élus en charge d’une municipalité ou des représentants de l’Etat dans un département, ce n’est pas de se cacher derrière la sensiblerie calculée des bons sentiments, c’est d’assumer les responsabilités de sa charge c’est-à-dire de sauvegarder le Bien Commun de la collectivité.

Et ce n’est pas en écrasant les Lourdais d’impôts, en les forçant à recevoir à contrario une immigration clandestine à qui on offre le logement, l’alimentation, les soins et l’éducation, que l’on sauvegarde le Bien Commun.

La mairie et le CADA ont le devoir d’informer les Lourdais de la situation qu’ils ont créée, notamment dans les hébergements loués en secteurs privés dans l’ignorance des riverains, et de prendre les mesures de sécurité et de contrôle qui s’imposent.

En attendant, le Front national se charge d’informer la population par ses actions militantes, telles que l’opération de tractage effectuée aujourd’hui (5000 tracts distribués en ville) ».