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José Marthe, Adeline Ayela et leurs suppléants Christophe Jean-Louis et Marie-Christine Steckel-Assouère apportent leur total soutien aux socio-professionnels de l’intersyndicale
Hier après-midi, José Marthe et Adeline Ayela, conseillers départementaux du canton de Lourdes1, avec leurs suppléants Christophe Jean-Louis et Marie-Christine Steckel-Assouère, ont tenu une conférence de presse au sujet du plan de sécurisation de la mairie de Lourdes et ont apporté leur total soutien aux socio-professionnels de l’Intersyndicale présidée par Jacques Barzu qui avaient manifesté dans la matinée devant et dans les couloirs de la mairie.
« Cette protestation était essentiellement de caractère socio-professionnel, a souligné d’entrée José Marthe. Il est bien évident qu’après la protestation des socio-professionnels, les politiques doivent à leur tour s’emparer du dossier en livrant leur analyse sur la situation délétère qui règne à Lourdes ». Et de sortir une feuille présentant l’affiche du prochain festival Rue Barrée (cliquez) avec le commentaire amusé que l’on peut écouter (AUDIO).
Pour José Marthe, « A Lourdes, c’est le grand guignol permanent ». Et de faire référence à la liste des arrêtés municipaux, contradictoires les uns après les autres, qui se sont succédé.( AUDIO). « Le sens de cette conférence de presse est de manifester notre solidarité absolue que nous apportons à la protestation de l’intersyndicale des socio-professionnels » (AUDIO). José Marthe insiste : « La communauté des commerçants lourdais subit à l’heure actuelle une triple peine ». On retiendra la troisième : « La présence à la mairie de Lourdes d’un tandem Bourdeu-Rey qui est le plus incompétent que la ville de Lourdes ait eu à subir et à connaître depuis la libération, c’est-à-dire depuis la fin de la seconde guerre mondiale » (AUDIO)
Et si José Marthe avait été aux affaires qu’aurait-il fait ? Il répond en paraphrasant François Hollande lors du face à face avec Nicolas Sarkozy en 2012 (AUDIO). En guise de conclusion, José Marthe demandait et exigeait même sine die le démantèlement complet de la bunkérisation de la ville (AUDIO).
Avant de céder la parole à Adeline Ayela, José Marthe sortait ce qu’il qualifiait de « petite perle », une mise au point de Josette Bourdeu distribuée dans l’entre-deux tours des élections municipales de 2014 où il était entre autres écrit : « Non , et je ne l’ai jamais dit, je ne mettrai jamais la rue et le boulevard de la Grotte à sens unique » (.pdf) (AUDIO)
L’intervention d’Adeline Ayela
Comme José Marthe, Adeline Ayela adhère totalement au mouvement des commerçants, autocaristes, livreurs et aux autres qui ne manifestent pas mais qui subissent. Elle suggère à « Mme le Maire de Lourdes de laisser momentanément sa voiture de fonction, son chauffeur et ses passe-droits à la mairie, de reprendre son véhicule personnel et de s’immerger dans la circulation aux heures de pointe ». (AUDIO)
Marie-Christine Steckel-Assouère
évoque l’éventualité d’un recours pour excès de pouvoir
Marie-Christine Steckel-Assouère a entendu des socio-professionnels qui envisageraient de former un recours pour excès de pouvoir. Elle estime l’initiative tout à fait pertinente (AUDIO)
Christophe Jean-Louis et un éventuel recours
devant le tribunal administratif
Christophe Jean-Louis, avocat de profession, s’est exprimé sur l’argumentation qui pourrait être développée au soutien d’un recours devant le tribunal administratif. (AUDIO)
Rédaction
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