Municipales 2020 : Thierry Lavit va annoncer sa candidature

De source sûre, nous avons appris que Thierry Lavit, ancien conseiller municipal sous la mandature de Jean-Pierre Artiganave, ancien président du Cercle Radical Lourdais, a bel et bien décidé d’être candidat à la mairie de Lourdes. Il conduira une liste sans étiquette, et ne sera pas, nous a-t-on dit, animé de revanche. La société civile serait largement représentée. L’officialisation de cette candidature devrait intervenir en début de semaine prochaine. Toujours selon nos renseignements, la liste serait complète.

Rappelons que Thierry Lavit sera le 4^ème à annoncer la couleur après Christian Agius (Lourdes Ensemble), Stéphanie Lacoste (Tous pour Lourdes), Sylvain Peretto-Denis Crampe (Unis et Rassemblés Pour Lourdes). Bruno Vinualès, ancien adjoint à la maire de Lourdes Josette Bourdeu, passé dans l’opposition, a déclaré qu’il serait sur la ligne de départ mais n’a pas encore tenu de conférence de presse pour l’officialiser. Tout comme l’actuelle première magistrate dont le silence inquiète ceux qui lui sont restés proches. Au point que l’on se demande si elle ne va pas renoncer à briguer un second mandat, alors qu’elle avait claironné l’an dernier à une radio locale qu’il lui restait du travail à terminer. Par ailleurs, des bruits circulent également sur une possible candidature d’Angelika Omnès qui a, elle aussi, quitté le navire “bourdeusien” avec grand fracas. Reste encore le Rassemblement National, annoncé partant par le délégué départemental et conseiller régional Olivier Monteil. De ce côté-là, rien ne transpire. Il se chuchote que la liste serait conduite par Cédric Martinez, inconnu localement sur le plan politique. Sur Facebook, il dit être âgé de 40 ans et vivre à Lourdes.

Huit listes pourraient donc être en lice le 15 mars 2020. Chaque liste devant comprendre 33 noms, cela signifie qu’il faut trouver 264 personnes (8x33). Ce n’est pas une mince affaire. Si tel était le cas, ce sera sans doute la constitution des listes et les compétences qui feront la différence. Et non pas les étiquettes politiques.