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Violences verbales et harcèlement des réseaux sociaux : Marie-Christine Assouère et Bruno Vinualès s’expriment sur Lourdes-infos.com

lundi 17 mai 2021 par Rédaction

Suite au communiqué de l’équipe « Un destin pour notre territoire » qui se présente aux élections départementales sur le canton de Lourdes 2 et les commentaires qui frôlent ou dépassent la ligne rouge des « snipers » proches de la municipalité actuelle, nous avons rencontré Marie-Christine Assouère et Bruno Vinualès qui nous ont livré leur sentiment. Face à la méchanceté et aux mensonges, ils se concentrent pleinement sur les projets qu’ils vont présenter aux électeurs. La rédaction de lourdes-infos.com a reçu de nombreux messages d’internautes condamnant sévèrement les propos de ces bloggeurs dont certains agissent derrière un anonymat « courageux ». Il y en un par contre qui est cité dans les commentaires ci-dessous. Ils sont plusieurs à s’étonner qu’on puisse notamment s’en prendre à une jeune femme brillante, reconnue pour sa moralité et ses compétences, déjà appréciée à tous les niveaux du département et dont les qualités professionnelles ne sont plus à prouver. Une jeune femme qui a su gravir à force de travail l’ascenseur social.

Les réponses de Marie-Christine Assouère et de Bruno Vinualès

« Blessés par la déferlante violence verbale d’une minorité active sur les réseaux sociaux, nous avons cherché à comprendre les motivations de ces mercenaires de la désinformation.

Il ressort des ouvrages de psychologie et de psychanalyse que les techniques de manipulation sont utilisées par des personnes frustrées et/ou motivées par une cause narcissique, pour un intérêt uniquement personnel.

Selon ces livres spécialisés, les bourreaux utilisent la victimisation pour fédérer puis s’autoriser et encourager le recours à l’agression. Ils exagèrent, déforment, transforment la réalité et la vérité pour discréditer les personnes compétentes et bienveillantes. Ne souhaitant pas faire ici une démonstration sur les problèmes de psychologie et de harcèlement dont les mécaniques sont les mêmes que le cyber harcèlement ou le harcèlement en ligne, dont souffrent nos enfants, nous invitons les lecteurs à consulter sur Internet la page https://reflexivites.hypotheses.org/7550 et la page https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F32239 .

Nous aimerions savoir pourquoi Jean Anguera, recrue de Lourdes Actu, soutien inconditionnel de Monsieur le Maire de Lourdes, publie toujours à charge contre les élus de l’opposition municipale de Lourdes. Il fait preuve d’une obsession et de sexisme à l’égard des femmes en général mais plus particulièrement des élues de la minorité, en appelant cela du journalisme. Il justifie son harcèlement nauséabond en nous présentant comme des personnalités publiques. Selon lui, cela suffit pour nous jeter en pâture et nous diaboliser, sans jamais parler de notre dévotion, de la masse de travail effectuée et de tous les projets que nous avons réalisés, souvent en faveur des plus démunis.

Permettez-moi de rappeler qu’un journaliste est une personne qui recueille, recherche mais surtout vérifie, et écrit puis distribue des informations sur tout type de support. Lors d’une campagne électorale, il se doit de communiquer sur l’ensemble des listes de façon équitable. Ce n’est pas le cas encore pour Lourdes Actu qui se revendique être un site journalistique officiel et nous reproche de lui envoyer nos conférences de presse, refusant de les mettre en ligne. Notre volonté étant de respecter les professionnels qui vivent de leur métier et qui relatent les assemblées départementales tout au long de l’année, ce qui n’est pas le cas de Lourdes Actu. Nous avons aussi expliqué que nous ne voulons pas être pris en otage de cette opposition entre blogs et sites professionnels. Monsieur Anguera, devenu l’écrivain officiel de Lourdes Actu, se venge en trouvant ici un prétexte suffisant pour nous attaquer et nous discréditer quotidiennement. Pourtant il n’est pas en possession d’une carte de presse et nous ne lui connaissons aucune formation à ce titre. Certes il fût instituteur, probablement de qualité, mais nous acceptons de croire que le journalisme est un vrai métier. Nous-mêmes, nous avons choisi de faire de longues études afin d’obtenir des diplômes. Nous nous sommes armés d’expérience pour devenir experts dans les sujets qui nous occupent. Ainsi nous savons considérer et apprécier le professionnalisme. Notre souhait aujourd’hui est de mettre au service de notre territoire et de ses habitants toutes nos compétences, sans pour autant s’attaquer à nos concurrents à qui nous reconnaissons aussi leur volonté et leur implication.

Monsieur Jean Anguera, s’estime journaliste. C’est pourtant inlassablement qu’il diffuse de manière quasi-obsessionnelle et harcelante, des propos plus que déplacés sur de nombreux sites de réseaux sociaux, sous ses pseudos déjà bien connus des internautes : Léon Noel, Whouaouh et Pierre Manteau… Il est important de relever ici qu’aucune agression ne vise ses candidats préférés. Ce type de démarche s’appelle tout simplement de la propagande….

Dernièrement, il a, par exemple, traité sur son Facebook Marie-Christine Assouère « de naine » avant de supprimer ce terme mais le mal était déjà fait... à chaque diffusion des gens lisent, d’autres font des copies d’écran et diffusent à leur tour sur d’autres supports, propageant l’insulte et le harcèlement. Au-delà du caractère injurieux et discriminatoire pour une partie de notre Humanité, se pose la question de savoir si les habitantes et les habitants des Hautes-Pyrénées préfèrent une personne de grande taille mais petite d’esprit ou une personne de petite taille mais ouverte d’esprit et respectueuse des autres ?

Autre interrogation fondamentale : Pourquoi les mêmes personnes sont constamment ciblées et attaquées alors que les autres élu(e)s et candidat(e)s échappent à ses fourches caudines ?

Ceux qui se présentent comme des journalistes ne devraient-ils pas traiter tous les candidats de la même façon ? Ne devraient-ils pas s’assurer de la véracité des faits avant de les propager quand il ne s’agit pas tout simplement de les inventer ? Les dernières élections municipales ont démontré le résultat d’un tel battage politicien…

Est-ce que nous devons être les victimes d’une violence psychologique exagérée parce que nous sommes candidats à une élection départementale face à ceux qui ont leur préférence ?

Est-ce que pour se valoriser, des individus doivent dénigrer et détruire d’autres individus ?

En cette période de crise extrême comme Lourdes n’a jamais connu et au moment où nous devrions faire corps, notre bonne volonté et nos compétences ont malheureusement été écartées de l’action municipale. Après un bilan départemental placé sous le signe de la réussite, toutes ces instrumentalisations n’ont pour seul but que de nous discréditer pour nous éloigner à nouveau de la gouvernance et l’attribuer aux bons amis et à leurs obligés sans se soucier de l’impact tragique sur notre économie et notre territoire…

Ce n’est pas notre conception de la démocratie. Nous respectons encore et toujours tout un chacun. Nous plaignons même ces personnes certainement en manque de bonheur pour déverser autant de haine. Rien ne peut et ne doit justifier l’agression – physique ou verbale – des personnes publiques ou privées.

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Face au doute, la clarté

Bien que cela soit évident, face aux sous-entendus, Marie-Christine Assouère confirme qu’elle est l’unique auteure des posts publiés en tant qu’élue ou candidate avec le Facebook commun avec son mari.

Face à l’injustice, l’équité

Le droit de réserve n’interdit nullement la liberté d’opinion. Il encadre son expression ! Les agents publics doivent, en effet, s’exprimer avec mesure et retenue. Les injures sont condamnables et doivent être sanctionnées d’autant plus lorsque la fonction exercée exige la neutralité et l’objectivité dans les relations de médiation avec les administrés. Surtout quand son supérieur hiérarchique se présente lui-même à cette élection.

Face aux mensonges, la vérité

Nous avons toujours et nous assumerons toujours nos actes, tous nos actes et exclusivement nos actes !

Contrairement aux propos mensongers de Jean Anguera, Marie-Christine Assouère tient une bonne fois pour toute à préciser qu’elle n’a jamais ni parrainé ni voté Dupont-Aignan.