Les infos de Lourdes et du Pays de Lourdes

  Informations Lourdes et Grand Tarbes  Informations Lourdes et Pays de Lourdes  Informations Bagnères de Bigorre  Informations Argelès-Gazost Vallées des Gaves  Informations Pays de Lannemezan  Information Pays du Val Adour  Informations Hautes-Pyrénées     
         

Elections départementales/Canton de Lourdes 1 : Adeline Ayela, conseillère départementale sortante, Christophe Jean-Louis, remplaçant de José Marthe, et leurs remplaçants remettent les pendules à l’heure

jeudi 17 juin 2021 par Rédaction

Dernier point presse ce mercredi pour Adeline Ayela, conseillère départementale sortante du canton de Lourdes 1, binôme durant ces 6 dernières années de José Marthe, qui reste un élu qui a fortement marqué ce canton durant 45 ans. Elle était accompagnée de Christophe Jean-Louis, avocat de profession, remplaçant de José Marthe, et de leurs remplaçants successifs Christelle Abbadie Chelle, maire d’Ossen et Ludovic Charrassier-Cahours, greffier principal, dernier greffier du tribunal d’instance de Lourdes. Cela a été l’occasion de remettre les pendules à l’heure, de rappeler la fidélité de ce quatuor à celui qui leur a mis le pied à l’étrier, et surtout à un moment où le concurrent maire de Lourdes, au passé de gauche, veut faire croire aux électeurs qu’il aurait la bénédiction de celui qu’il a toujours combattu durant la plupart des précédents scrutins.

INTERVENTION D’ADELINE AYELA

Cette dernière conférence de presse avant les élections de dimanche nous parait importante pour faire quelques mises au point avant de revenir sur notre projet.

Pour faire suite à nos différentes réunions avec tous les maires et conseillers municipaux de notre canton, il semble encore nécessaire que nous fassions preuve de pédagogie et surtout pas comme certains de démagogie.

1 : La 2x2 voies

Non, le candidat adverse n’ira pas avec Monsieur PELIEU à Paris pour obtenir l’achèvement de la 2X2 voies plus vite que la musique :

- d’abord parce que Monsieur PELIEU n’en est pas informé (moi aussi, j’ai des sources directes) - ensuite parce qu’un courrier en date du 24 mars 2021 du Préfet de Région dresse une feuille de route bien détaillée qui reprend chronologiquement les différentes actions et nous amène à 2023 au plus tôt.

Bien évidemment, nous connaissons parfaitement et depuis longtemps toute l’importance de ce projet d’aménagement de territoire que nous savons indispensable pour l’attractivité de Lourdes et ses vallées. Mais c’est faire preuve de peu de considération pour Monsieur MARTHE et pour moi-même (mais c’est moins grave) qu’il fera plus vite et mieux.

Eh oui, dans la vie il y a des règles qui s’appliquent à tous même si l’on pense être au-dessus !

2 : Le maire de Lourdes et le mandat de conseiller départemental

Rappeler à tour de bras que José MARTHE lui a dit de s’engager au conseil départemental pour laisser penser qu’il a sa bénédiction relève de la plus grande fantaisie.

Et d’ailleurs, pourquoi faudrait-il le conseil d’un homme de droite à un homme de gauche pour prendre ses décisions ?

3 : Les associations

Je souhaite aborder également un sujet qui nous est cher, les associations. Nos concurrents ont répété lors de leurs interventions qu’ils ne voulaient pas toucher aux associations. Que penser entre « le dire » et « le faire » ? Il est possible que les Lourdaises et les Lourdais apprécient très prochainement l’étendue de cette volonté.

Nous faisons une campagne de terrain et nous échangeons.

On m’a communiqué un courrier daté du 12 juin 2021 du président du Festival de musique sacrée de Lourdes, le plus ancien d’Occitanie avec 54 ans d’existence.

J’en reprends la teneur « avec une baisse de subvention tellement importante peut ètre 75%, la crainte est que ce festival disparaisse « corps et bien ».

On peut se demander quelles surprises nous attendent lors du prochain conseil municipal qui évidemment se tiendra après les élections

Pourquoi ?

Nous laissons chacun en imaginer les raisons.

4 : Le FAR

Non, « Madame AYELA ne distribue pas que le FAR » (fonds d’aménagement rural) D’abord je ne possède rien et ne dispose surtout pas de l’argent public.

C’est la répartition d’une subvention départementale équitable et en accord avec les maires de notre canton, pour leurs projets d’aménagement, de valorisation et d’entretien de nos villages.

Mais pas que !

Je suis étonnée de la méconnaissance de certains sur la politique volontariste du département. En effet :

-Retracer les sentiers oubliés. Le pôle touristique du département accompagne les projets.

-Dans le thème Sport et Nature, le département travaille aussi sur les sentiers, sur l’uniformité du balisage et sur le répertoire des sentiers et chemins du département.

-Favoriser les circuits courts : les contrats département-collège ont été proposés et signés pour favoriser la légumerie locale dans les établissements.

-Le passage de la fibre est en cours sur notre territoire et le calendrier est bien respecté pour le moment.

Quant aux villages fleuris, c’est une excellente idée de vouloir faire des émules. Mais encore une fois « être force de proposition n’est pas force d’adhésion ». Un conseiller départemental ne fait pas d’ingérence dans une commune.

Ce n’est pas le tout d’aller chercher des financements autres. D’ailleurs, nous aimerions savoir lesquels. Rappel pour un projet dans nos petites communes, toutes subventions confondues (Etat, région, département et autres), il reste une partie minimale de 20% qui restera à sa charge.

Un projet, quel qu’il soit, nécessite une grande réflexion de la part des maires et conseils municipaux. Aucune comparaison avec la ville de Lourdes.

C’est pourquoi, même avec des projets pharaoniques, nos maires et conseils se doivent de gérer leurs communes avec, et comme ils le font, la plus grange rigueur sous peine d’augmenter les impôts.

Nous comprenons tous l’importance de la maîtrise d’un budget communal.

La ville de LOURDES a pu bénéficier et heureusement des aides d’Etat et de la région mais le quoi qu’il en coûte va se tarir.

Comme la réforme sur l’emploi suspendue pendant la COVID qui va être remise en discussion et générer une source supplémentaire d’allocataires au RSA.

Comme la multiplication des problèmes sociaux qui vont peser lourdement sur le budget “volet social” du Département. Aucune institution n’est un puits sans fond.

5 : L’hôpital unique

Nombre de nos concitoyens nous ont interpellés sur l’hôpital unique. Nous regrettons amèrement de perdre notre hôpital de proximité comme eux.

Quand l’Etat nous parle de maillage du territoire, il oublie subtilement de nous parler du format de la maille.

Le démembrement de l’hôpital a démarré depuis plusieurs années déjà avec la fermeture de la maternité malgré notre opposition avec la fin des différents services, l’absence de remplacement de chefs de service partis à la retraite donc programmés

Après avoir vidé la substance de cet établissement, nous sommes mis devant un fait accompli et c’est la chronique d’une mort annoncée.

Quel est notre choix désormais ? La mutualisation des hôpitaux LOURDES -TARBES I Nous devons y voir le verre à moitié plein à présent et tous les avantages technologiques de pointe qui seront mis à notre disposition.

Cependant deux critères seront à maintenir impérativement pour notre territoire et à surveiller de très près :

- Le maintien à l’identique, au moins, du nombre de lits.

- Le maintien de l’ensemble des personnels.

Jamais nous n’entendrons MUTALISATION-REDUCTION.

Mais rassurons-nous, le binôme adverse est le porteur projet, encore une manière à s’accaparer les projets existants et travaillés par les autres.

6 : Ouelques réflexions personnelles

• Où est la considération des conseillers départementaux ? Aucune invitation municipale depuis 1 an pour les rassemblements patriotiques.

• Aucune attaque sur l’homme comme il le dit. C’est une stratégie de victimisation pour masquer en réalité l’absence de projet de cette équipe.

• Prétendre justifier sa candidature au département pour aller chercher des financements au département et ailleurs n’est aucunement justifiable. Les budgets sont là, il faut juste des projets structurés en face.

• Prétendre mettre l’humain au cœur de ses soi-disant projets, on en oublierait presque que les Casetas, Lourdes plage pourtant très populaires seront fermées avec la baisse des budgets des associations pourtant si importantes dans la représentation du lien social.

• Le canton de Lourdes 1 et Lourdes 2 ont toujours travaillé ensemble.

Monsieur le maire le sait parfaitement puisque nous l’avons sollicité à la demande de la proviseure pour intervenir sur un projet de sécurisation sur la sortie de la cité scolaire de Sarsan. Projet pour lequel nous n’avons eu aucun retour depuis septembre 2020 !

• Il semble intéressé par les routes du département (pour rappel, elles sont à 98% en bon état sur notre canton et le seront à 100 % en fin d’année).

Je lui conseille une rencontre de terrain avec les Lourdaises et les Lourdais sur l’état des routes communales.

Un gros travail est à faire

• Quand on veut rejoindre la majorité départementale et soutenir les idées de Monsieur PELIEU, il faut peut être commencer par accepter les mains tendues. Je fais référence au festival Ecran Jeunesse.

Après ces observations, je souhaiterais revenir maintenant sur des propos positifs relatifs à nos projets et axes de réflexions :

Christine Abbadie-Chelle, maire d’Ossen, remplaçante d’Adeline Ayela

Les projets des communes

Les communes décident des travaux selon leurs priorités du moment. Ainsi, les travaux d’accessibilité et de mise en sécurité sont ceux qui doivent être priorisés avant toute autre chose. Et ce d’autant plus que des imprévus peuvent survenir à tout moment.

Tous nos villages sont accueillants soit par l’embellissement, soit par la réhabilitation du patrimoine ou par les deux.

Avec de petits budgets communaux, les équipes municipales doivent, entretenir, embellir, entreprendre, sans jamais perdre de vue le bien commun.

Grâce aux aides en relation avec les projets, nous évitons, autant que faire se peut, d’avoir recours aux impôts.

La coopération entre villages existe déjà

Dans la vallée de Batsurguère depuis plusieurs années se sont mis en place plusieurs services :

- la « Petite Bigourdane », un camion pizza qui s’installe à OSSEN tous les vendredis,

- le marché des « producteur locaux » tous les mercredis après-midi à SÉGUS,

- un « café éphémère » tous les premiers vendredis du mois (hors Covid 19) à SÉGUS,

- tous les dimanches soir « un kebab bio » à ASPIN,

- et aussi une épicerie ambulante « la petite épicerie du coin » qui fait le tour de la vallée tous les vendredis matin.

Mais on va plus loin avec des porteurs de projets sur les villages plus importants comme ASPIN qui va structurer un projet de cœur de bourg avec une halle aux marchés régionaux, café, restaurant...

Chacun de nous avec volonté et en fonction de nos moyens créé la richesse de notre vallée. Rappeler le transport des personnes pour l’administratif

Le mandat unique : pourquoi ? Intervention de Christophe Jean-Louis, candidat titulaire

1 : Un mandat unique pour travailler sérieusement et rester disponible

Il faut le répéter car manifestement certains n’ont toujours pas compris la réalité de la fonction de conseiller départemental non, il ne faut pas travailler seulement un vendredi par mois.

Au contraire, il faut participer aux nombreuses réunions des commissions dans lesquelles l’élu est membre. Quand on dit participer, on pourrait surtout dire travailler.

Il faut encore participer aux réunions de différents conseils d’administrations donnons un seul exemple, celui du Lycée-collège de Sarsan.

Adeline pourra petit-être dire quelques mots sur des interventions urgentes auxquelles elle a dû faire face avec José MARTHE.

Mais il faut surtout rester disponible : quid du traitement des demandes de rendez-vous, de présence sur le terrain, des possibilités de résolution de problèmes lorsqu’un élu cumule différents mandats et fonctions’’

Surtout quand on soutient que l’on se dépense sans compter dans son mandat de maire avec des amplitudes horaires qui pourraient rendre jalouse toute une colonie d’abeilles à part peut-être une.

En conclusion, le mandat unique se justifie par des raisons objectives.

Mais il se justifie également par la parole publique donnée et c’est le deuxième point que je vais aborder

2 : Un mandat unique pour respecter la parole donnée publiquement 

Le côté négatif des écrits est que contrairement aux paroles. Ils restent.

Rappelons donc que le maire de Lourdes avait déclaré, pendant la campagne municipale, qu’il ne briguerait aucun autre mandat que celui de maire de Lourdes et celui qui en découle naturellement, à savoir, celui de vice-président de la grande agglomération TLP :

Extrait de la déclaration de candidature : « Je m’engage, si je suis élu, à respecter l’équilibre entre éthique de conviction et éthique de responsabilité. Conscient des exigences qu’impose la fonction de maire, je continuerai à défendre le principe du mandat unique. Si les Lourdaises et les Lourdais me témoignent leur confiance, je serai un maire à temps plein au service de l’intérêt général, à la mairie comme à la grande agglomération »

Alors aujourd’hui, on tente de tordre les propos tenus en différenciant le mandat de maire qui serait le seul à compter dans les mandats électifs contrairement a celui par exemple de Président du PLVG car ce dernier étant un syndicat, ce mandat n’en serait pas un, l’élection ne se faisant pas par les habitants.

Maryse CARRÈRE sera donc contente d’apprendre qu’elle n’a aucun mandat électoral ! Bref personne n’est dupe il s’agit d’un véritable reniement !

Mais quoi qu’il en soit, le simple fait de candidater à l’élection de conseiller départemental démontre l’intention de cumuler et valide le reniement.

Et sur le fond, comment justifier objectivement, c’est-à-dire autrement que par des promesses sans fondement du style « si je suis élu, je pourrais actionner tel ou tel dispositif pour amener plus d’argent », le cumul des mandats ?

La réponse attendra.

Mais il y a un dernier point que je souhaite aborder, sorte de conséquence éventuelle du cumul des mandats

3 : Un mandat unique pour éviter le cumul d’indemnités publiques dans une période difficile pour tous

En effet, les élus sont souvent tentés, une fois élus, de créer des rémunérations où avant il n’en existait pas.

Peut-être que ce principe aurait pu ne pas s’appliquer à quelqu’un qui se veut « missionnaire » et « non carriériste » etc..

Mais les écrits, encore une fois, sont têtus et restent disponibles à tout un chacun.

Examinons donc ensemble le compte-rendu du Bureau syndical du PLVG qui s’est tenu le 26 octobre 2020 à partir de la page 6 : « Aujourd’hui les élus sont bénévoles », « montant brut maximal de 398,27 E soit 348,49 E nets » et « l’impact financier pour le budget du PLVG est de 34.860 E par an ».

Voyons également le compte-rendu du Conseil syndical tenu le 17 novembre 2020 à partir de la page 4 où un vice-président a déclaré qu’il ne consacrait pas assez de temps pour justifier d’une indemnité de fonction et le maire de Lourdes votera cependant en faveur de l’instauration de cette indemnité.

Que dire et déduire de tout cela ?

Chacun en pensera ce qu’il voudra mais je retiens que la mise en place de cette indemnité mensuelle de 350€ coûtera environ 35.000€ par an à la collectivité, somme qui sera, au final, supportée par tous les habitants et tous les ans.

Ludovic CHARRASSIER-CAHOURS, remplaçant de Christophe JEAN-LOUIS

« L’instant est grave.

Nous nous engageons dans une élection départementale et non communale, régionale ou nationale. Nous sommes inquiets. Les projets du territoire annoncés par l’équipe adverse concrétisent plutôt un déséquilibre parce que rien n’est précisé, quantifié, et encore moins chiffré. Il faut cesser de faire croire que les millions d’euros vont pleuvoir sur la RN 21, le relogement de l’Ophite, le développement culturel, sportif. Qu’en est-il de la vie humaine et sociale ?

Nous avons pris le pouls, commune par commune, nous sommes partis à la rencontre des électrices et des électeurs, leur inquiétude en est tout autre.

Tout candidat à l’élection départementale doit avoir en priorité L’HUMAIN dans toute sa définition.

La Covid-19, et je vous l’ai rappelé déjà, les personnes en détresse sont malheureusement plus nombreuses et je vais vous l’expliquer avec la réalité.

La dette nationale a atteint 115% du PIB, soit 212 Milliards d’euros au 28 mai 2021.(source Bercy)

Le plan de relance économique de 25 milliards d’euros en 2021 et 52 milliards d’euros en 2022 avec une feuille de route pour la refondation économique, sociale et écologique.

Discutons maintenant très sérieusement.

L’accroissement des bénéficiaires du RSA continue et va exploser à la rentrée.

Selon Infogreffe Hautes-Pyrénées, 33 entreprises sont en liquidation judiciaire à ce jour. Ne croyez-vous pas que le budget départemental sera redistribué selon la priorité et la nécessité ?

Aucun candidat, à ce jour, ne peut se prononcer.

Alors, devinette ? Prémonitions ? Cessons d’écouter les orations d’un chaland. Si les adversaires pensent que les petites fleurs vont guérir les grands mots, ils se trompent éperdument, ils se cachent derrière des pétales éphémères qui n’ont que la durée d’une saison.

Vous, Nous, réalisons que les discours politiciens sont redondants et n’engagent que ceux qui les prononcent. STOP.

Nous avons pris conscience de la réalité parce que nous la vivons au quotidien.

L’hôpital de demain, l’infrastructure routière de demain, nous y pensons mais AUJOURD’HUI, des femmes, des hommes, des enfants ont besoin d’être soutenus, entendus parce que leur mal-être est grandissant.

Je n’ai aucune souvenance que l’acteur principal ait agit depuis juin 2020. Réfléchir et préparer un second one-man-show, là, ils sont présents.

Alors, qu’ils aient l’honnêteté d’annoncer réellement ce qu’ils comptent faire plutôt que d‘enfumer les administrés qui sont déjà dépités.

Notre combat de ce jour, et nous l’avons placé en avant, c’est de relancer l’emploi avec des partenaires et des entreprises extérieures, avec un plan de fiscalité approprié et adéquat à la situation.

Le conseil départemental doit actionner ce levier prioritairement. Tout est fondamental. Il s’agit de prioriser. Nous devons empêcher que les citoyens, les électrices et électeurs de Lourdes 1 se perdent dans le Triangle des Bermudes, que l’équilibriste joue seul le funambule.

Quid du partenariat sincère, évoqué, inscrit dans leur plaquette ? Nous savons que le tissu associatif est nécessaire en tous domaines, sera-t-il le même dans un proche avenir ? Les associations vont-elles bénéficier des subventions suffisantes pour pérenniser leurs activités ? Là encore, du funambulisme. Les projets de territoire, multiples et variés mais encore flous, ne sont qu’une stratégie électorale. Rappelez-vous de ses projets pour sa campagne municipale où sont-ils ?

Pour cet acteur, il n’y a que Lourdes qui compte, les autres communes du canton sont les oubliées face à la relance économique ».

La conclusion d’Adeline Ayela

En conclusion, je dirai à l’ensemble des électrices et des électeurs que nous les incitons à voter dimanche pour notre liste qui est cohérente, réaliste et de terrain, forte de projets en adéquation avec notre territoire et avec la situation économique, sociale.