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Bruits et chuchotements..

mercredi 16 février 2011 par Rédaction

CCPL : le ton est monté lundi soir !

Lundi soir, lors de la traditionnelle réunion hebdomadaire du bureau de la Communauté de Communes du Pays de Lourdes, des discussions auraient été vives suite à la publication de notre dernière rubrique où nous évoquions le fascicule concocté à l’occasion de la fin d’année 2010 par les deux « stars de la com » du président-maire Artiganave. L’unanimité était loin de régner chez les vice-présidents au sujet de ce genre de communication. Certains préférant privilégier les économies que de faire plaisir à certain(es) privilégié(e)s. Une réunion où aurait été également mise à mal la fameuse mutualisation des services entre la CCPL et la ville de Lourdes, confirmant une fois de plus nos propos.

Bouderie « artiganavienne » remarquée

Samedi, dans les tribunes, on notait la présence du maire de Lourdes. Rien que de très normal. Son arrivée n’est pas passée inaperçue quand il a grimpé les escaliers de la tribune centrale. Il était escorté par celle qui fait figure d’attachée de presse permanente, D(P)P, qui est aussi l’une des deux rédactrices rattachées à l’agence lourdaise des deux quotidiens du groupe « Dépêche ». Peut-on parler d’indépendance et de neutralité ? Mais là n’est pas notre affaire. On a craint un moment que la présence du tandem porte la poisse au FCL, car des spectateurs avisés ont constaté que lorsque ces deux-là venaient soutenir les rugbymen lourdais, souvent cela se soldait par une défaite de leurs favoris. La victoire ayant souri au FCL, ils ont, selon d’aucuns, échappé à l’appellation de « pestougnards ».

A l’issue du match, un repas officiel avec des anciens joueurs, des sponsors, des supporters, des dirigeants du comité Armagnac-Bigorre, des arbitres et délégués, a été servi à l’espace Michel-Crauste. A la table d’honneur, figurait également Jean-Louis Fourcade, président du C.A. Lannemezanais. Parmi les bristols placés sur la table, on remarquait celui de Jean-Pierre Artiganave, maire de Lourdes. Eh bien, la place est restée vacante toute la soirée. Est-ce que certaines présences (et certaines absences aussi) à la table officielle l’ont dissuadé de venir partager la joie de la famille rugbystique lourdaise ?

La maladresse qui a irrité la FFR !

Lors de cette soirée, nous avions à nos côtés, un membre éminent du comité Armagnac-Bigorre avec lequel nous avons évoqué la sanction de 6 points qui avait été infligée par la Fédération Française de Rugby après le match Lourdes-Mauléon. Des écrits émanant du chargé du communication et des relations avec la presse du FC Lourdais ont pesé lourd dans la décision. Rappelons ci-après ce qui était contenu dans le communiqué envoyé aux médias le 25 janvier 2011, c’est-à-dire la veille où devait être examiné à Marcoussis l’appel du FCL : « Fédération : Un grand bravo à la Fédération Française de Rugby pour les incohérences de son calendrier. Le 13 Janvier (NDLR. il a voulu dire février), une journée de fédérale est programmée à 15h, l’Equipe de France, vitrine du rugby français, joue à 16h en Irlande. Pendant que les gros manteaux fédéraux finiront leur dégustation de whisky, les bénévoles et les dirigeants des clubs feront rentrer l’argent pour les caisses de la FFR. On se moque des clubs, des supporters, gardons les privilèges ».

Nous nous sommes bien gardé de publier de tels propos. D’autres l’ont fait. Et cela n’a pas échappé à des membres du comité Armagnac-Bigorre ni de la FFR. Il faut savoir qu’au sein du comité directeur de la FFR siègent à des postes importants des Bigourdans. Les termes de "gros manteaux" et de "whisky" leur sont restés en travers de la gorge. Résultat : pas d’indulgence de la part de la commission des règlements alors qu’il n’était pas impossible de sauver deux points sur les six. Encore un manque de professionnalisme de celui qui évolue aujourd’hui dans la sphère des « stars de la com » d’Artiganave.

G.M