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La réponse (virtuelle) d’Artiganave à notre lettre ouverte.

lundi 9 mai 2011 par Rédaction

Dimanche 8 mai 2011, il y a eu exactement un an, que le très « démocrate et fraternel maire » de Lourdes faisait savoir à ses services municipaux qu’il ne souhaitait pas que lourdes-infos.com reçoive d’invitations, informations ou toute autre type de communication émanant de la ville de Lourdes. Et il les remerciait par avance de retirer le média (le plus lu sur la place lourdaise) des fichiers municipaux. Nous lui avons demandé sous une forme polie ce qui nous valait cette « mise au cachot » et aujourd’hui 366 jours après, nous attendons toujours sa réponse. Faute d’avoir eu ses explications, nous publions en exclusivité une interview virtuelle qui n’est pas du tout à notre avantage (Ça démontre notre objectivité), se basant sur des documents et faits réels, donc pas imaginaires, qui nous permettent de pénétrer le fond des pensées artiganaviennes.

La pression de DPP

« Qui commande ici ? » C’est la question que nous avions posée en préambule de la séance publique du conseil municipal du vendredi 10 décembre 2010 à la pigiste préférée d’Artiganave (Delphine Pereira ou Delfina Pinto-Pereira , c’est la même et unique personne) , quand avaient été disposés les emplacements de la table de presse où le nom de lourdes-infos.com n’apparaissait pas. « C’est moi !  » avait répondu avec une superbe assurance la pétulante plumitive. Une réponse qui n’était pas pour nous, comme pour beaucoup de Lourdais d’ailleurs, une surprise. Tant la bellissime DPP aime à montrer sa « puissance » et son autorité. On avait là en quelques secondes la réponse à la question que l’on pose donc depuis 366 jours à JPA. C’est en effet sur l’insistance de l’ ébouriffante plumitive que l’ancien directeur de cabinet et de la communication d’Artiganave a fini par s’exécuter. On sait que DPP est intervenue dans le bureau du prédécesseur de l’intérimaire Brice Jehanno une quantité de fois pour qu’il nous sorte du listing de la communication municipale. « Une vie d’enfer ! » qu’il a dû supporter l’ancien collaborateur d’Artiganave qui a retrouvé, et c’est heureux pour lui, la sérénité dans ses nouvelles fonctions au Grand Tarbes.

On n’a pas attendu un an pour savoir d’où le coup était parti tant les bruits de couloirs à la mairie et en ville circulaient et continuent toujours à circuler. Pereira est chez elle à la mairie de Lourdes. Elle aime à le faire savoir. Avant les séances publiques, elle passe par le sous-sol pourtant fermé alors que la grille principale de l’hôtel de ville est tirée !

Après avoir pris connaissance de l’interview virtuelle ci-dessous, on comprendra dès lors qu’Artiganave soit gêné aux entournures pour nous répondre et fournir des explications justifiant le carton rouge qu’il a brandi contre notre rédaction .

Nous allons bien évidemment répondre au « chavezien » maire de Lourdes concernant ses déclarations. Artiganave prétend que "Madame Pereira est la VICTIME d’une très longue série de propos calomnieux, d’injures à caractère raciste, d’atteintes à la vie privée, familiale et professionnelle publiés (quasi quotidiennement) dans les pages du site internet www.lourdes-infos.com et de son forum. Ce véritable harcèlement dure depuis plusieurs mois voire plusieurs années ". Qu’est-ce qui l’autorise à dire cela ? Nous le mettons au défi de trouver le moindre écrit de notre part (sur les 44 ans de notre carrière professionnelle) où nous pourrions être accusé de racisme. Nous serions prêt à parier l’un de ses établissements - « Le café Royal » par exemple - mais nous n’avons pas à lui proposer en face un bien de cette valeur, beaucoup s’en faut. Itou pour les atteintes à la vie privée, familiale et professionnelle que nous publierions quasi quotidiennement (sic). Nos lecteurs seront juges. D’aucuns seront sans doute étonnés par ce soutien appuyé de l’actuel locataire de l’hôtel de ville. D’autre part, on nous l’assure, il n’y a aucun lien de parenté ou de subordination. Ça figure au sommet de la fameuse attestation datée du 22 décembre 2009, adressée au tribunal correctionnel lorsque nous avions porté plainte pour diffamation contre Madame Pereira après des propos tenus lors d’une conférence de presse, le 14 août 2009 (retrouvez l’incident). Et s’il n’y a pas eu de suite au procès, c’est tout simplement la faute de notre avocate qui a oublié de déposer dans les délais le chèque de consignation de 1000 euros fixée par la présidente du tribunal de grande instance de Tarbes et dont elle était en possession plus de quinze jours avant la date limite. Dommage, dommage… (à suivre…)