Vous le savez, Le Dévelito revisite l'actualité sans se laisser troubler par des considérations d'impartialité et d'objectivité tout en distillant à l'occasion quelques vérités "vraies" pour exprimer sans ambages ce que je pense de l'activité menée par les élus qui ont la charge de gérer notre ville. Le tout dans une tonalité qui se veut plus humoristique que méchante".
Cela n'a pas plu".

Eh! Oui! C'est tout de même pas banal qu'un Maire d'une commune se sente à ce point diffamé par la confidentielle activité épistolaire de l'un de ses propres administrés pour aller tout de go déposer une plainte sans tenter, à tout le moins, de l'alerter par une mise en garde sur d'éventuelles poursuites.

Eh! Oui! C'est tout de même pas banal qu'un Maire et ses deux comparses se servent d'une chronique- sorte de pastiche imitant de manière burlesque un genre de style épistolaire - publiée dans le Dévelito N°35 et intitulée « La Cour » pour se sentir diffamés alors qu'ils ne sont jamais cités nommément! Pasd'bol! ... Ils s'y sont reconnus! Pourtant, je sais que ces gens-là ne manquent pas d'humour. Cette évidente volonté à ne voir qu’ignominie et propos infamants dans cette parodie, s'inscrit dès lors dans une criminelle manœuvre d'étouffement d'une petite publication qui voulait croire que la liberté d'expression pouvait aller jusqu'à rudoyer fermement les élus de notre cité mariale.

Eh! Oui! J'aurais dû savoir qu'ils étaient assez "démocrates!" pour ne pas prendre le risque de me poursuivre pour délit d'opinion, mais pas assez fair-play pour se priver, à la première occasion, de me traduire devant un tribunal pour diffamation afin de parvenir par ce biais à museler mes écrits.

Eh! Oui! Ces lascars veulent s'en prendre à mon porte-monnaie pour me mettre à genoux. N'ayant rien à voir avec Paris-Match ou Voici qui s'enrichissent en perdant des procès, je n'aurai pas les reins assez solides pour poursuivre Le Dévelito si éventuellement je venais à être condamné. Je n'ai pas l'aisance financière pour rester digne devant une telle adversité et, à mon regret, je préfère vivre à genoux en fermant ma gueule que vivre debout mais ... fauché.

Pourtant, cette petite publication me plaisait bien car elle était pour moi une ouverture vers les autres, vers vous ... lecteurs. J'ose espérer que certains parmi vous ont trouvé plaisir à la lire.

Voilà! Sans tomber dans un catastrophisme de mauvais aloi, le moral n'est pas au sommet de sa forme. La suite au prochain numéro ... j'espère ...."

"Quoi encore?!... La communauté des Communes! ... What is it? Je sais! Je sais! Vous n'en avez rien à foutre! Pourtant, faudra bien vous y intéresser un jour ou l'autre car d'ici peu vous allez être mis financièrement à contribution. Bref, voilà encore une soirée à me fader tous ces élus, délégués à la Communauté du Pays de Lourdes, et qui tous, imaginent avoir, dans leur for intérieur, un destin national! ....

Ah! Oui!... Jean-Louis Cazaubon, sorte de Borloo des campagnes. Encore un bon! Un artiste ( que je découvre) qui mériterait ...."

"Pour en saisir toutes les subtiles manigances faudrait lire la chronique suivante du Club Réflexion Lourdes ( C.R.L.)

La chronique du Club Réflexion Lourdes.

C..! ... Un chef d'oeuvre! Voilà des gens bien informés sur les relations lourdo-lourdaises ... Un travail d'archiviste! Démerde-toi! Mets en branle tes relations pour t'en procurer une copie auprès du CRL! Ravageur, mais ... édifiant".

"La vie, les grands quotidiens régionaux la regardent avec cette prudence de notables de province qui a découragé des générations de journalistes. Mariages, communions, enterrements, inaugurations, départs à la retraite du brigadier-chef de gendarmerie ou du sous-chef de gare, les"locales" restent les trotteuses respectueuses d'un quotidien ordinaire et convenu. Ne déranger personne, se contenter du tout-venant sans exploiter le tout-caché, telle est trop souvent la loi imposée par des journalistes devenus bureaucrates qui ne rêvent que de promotion au siège du journal et ne veulent surtout pas d'embrouilles".

"L'exquise chronique de Pierre-Jean Plankagat . Dans ce numéro entraient en scène, pour notre délectation, Messire Duhoguet, Madame Le Hérisson et ... Madame de Poublange . ... Sourire garanti ... si humour".