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La sale soirée d’Artiganave du 14 décembre 2012 : "Détester à en perdre la raison !"

mercredi 16 janvier 2013 par Rédaction

Nous revenons à notre tour sur cette sale soirée d’Artiganave du 14 décembre 2012 pour laquelle l’actuel maire de Lourdes a fait appel à un cabinet d’avocats parisiens (NDLR. Il ne doit pas avoir confiance dans ceux du barreau de Tarbes) dans le but d’obtenir de notre part un droit de réponse. Étonnant de la part de cet élu qui se targue pourtant de ne pas lire notre site, qui voue sa rédaction aux gémonies (On vous passe les termes orduriers utilisés par le soi-disant fraternel JPA). Et qui coupe le robinet de l’information municipale à notre média depuis plus de trois ans. En tout cas, Artiganave est moins pressé de répondre à notre lettre recommandée du 6 novembre 2009 où nous lui demandions des explications sur sa note de service que nous nous faisons un malin plaisir de rappeler : " Concernant tous les gestes de communication en direction de la presse locale, je vous rappelle que Monsieur le maire ne souhaite pas que lourdes-infos.com reçoive d’invitations, informations ou toute autre type de communication émanant de la ville de Lourdes. Je vous remercie donc de retirer ce média des fichiers municipaux ". On comprend son embarras derrière cette méprisante attitude. On le voit mal en effet montrer du doigt celle qui l’a si mal influencé. Site d’informations indépendant nous sommes et site indépendant nous resterons. Ce ne sont pas les menaces quelles qu’elles soient qui nous impressionneront. Et ça, on a eu l’occasion de le dire aux « messagers » qui nous ont approché pour tenter un rabibochage.

Une source proche d’Artiganave nous a raconté qu’il y avait panique à bord à la mairie. Le dernier quarteron de fidèles qui l’entoure cherche partout les informateurs - les taupes dans le langage de l’espionnage - qui peuvent bien nous renseigner. C’est aujourd’hui une obsession. Au point d’en perturber les nuits artiganaviennes. Ce pauvre Arti en fait des cauchemars : il y a des taupes à la mairie, il y a des taupes au conseil municipal, il y a des taupes à la CCPL, il y a des taupes aux halles, il y a des taupes en ville, il y a des taupes au Football-Club-Lourdais XV. C’est justement au sein de ce club qu’il a fait sa dernière sortie médiatique anti-lourdes-infos.com. Au point de laisser stupéfaite la dizaine de dirigeants présents à la réunion où Serge Sanguinet annonça sa démission. Des taupes, lui et son directeur de cabinet en soupçonnent aussi au sein de certaines rédactions. Un autre média fait l’objet, semble-t-il, depuis quelques temps, du même phénomène de rétention que nous subissons. Et tout cela parce qu’entre nous on se parle ! Et pour cause : nous étions sur les mêmes bancs de l’école Saint-Joseph il y a plus de… 50 ans. Bref, de tout cela est née une détestation à notre endroit qui fait carrément perdre les pédales à Artiganave, poussé qui plus est par un tandem dont on se demande ce qu’il comprend à la communication. Le « dir-cab » Labordère qui coûte très cher aux contribuables lourdais, au lieu de la jouer mollo, passe son temps à agiter le chiffon rouge sous le nez de son patron qui repart excité comme une puce, d’autant que son égérie en remet toujours une couche par derrière.

C’est dans cet état d’esprit que ce trio infernal a provoqué le fameux clash, à l’hôtel La Solitude, le vendredi 14 décembre 2012, lors du repas des employés communaux et intercommunaux. Artiganave en a fait porter la responsabilité à Bruno Vinualès. C’est drôlement gonflé. Il s’est fabriqué un scénario qui ne tient pas la route, oubliant de mentionner que c’est lui qui est à l’origine de cet incident. Nous rappellerons que nous nous sommes déplacés à l’invitation du comité d’entraide. (invitation ci-dessous)

Pour notre part, c’était la première fois que nous répondions à cette invitation. En réalité, nous remplacions Gérard Arramon, souffrant, un habitué de ce rendez-vous depuis de très nombreuses années. Artiganave, avec une mauvaise foi évidente, prétend que c’est Bruno Vinualès qui a invité à dîner, chez lui, les représentants de la presse locale. On peut vous assurer qu’en aucun moment Bruno Vinualès ne nous a contacté pour nous inviter. Nous ne l’avons rencontré que lorsque nous sommes sorti de l’établissement et que nous lui avons répondu, devant témoins, que nous avions été invités par le comité d’entraide. Artiganave-le diviseur ne pouvait pas savoir si nous assisterions au repas puisque nous n’avions pas décidé si nous restions ou pas à la soirée, René Courtade, le secrétaire du CE ,ayant insisté pour que nous partagions sa table.

Le sectaire maire de Lourdes dénonce « la confusion des genres en demandant à Bruno Vinualès des explications sur la présence de ces journalistes au-delà de la traditionnelle prise de clichés » C’EST ENORME ! Il aurait pu adresser cette apostrophe à lui-même : que faisaient donc Delfina Pinto-Pereira et Cathy Gautier à sa table ? Entre Artiganave et Pereira, n’y a-t-il pas confusion des genres ? Disons même qu’on pourrait bientôt parler de conflit d’intérêts. Nous poserons prochainement la question, en nous appuyant d’ailleurs sur des exemples.

Artiganave qui n’en est plus à une manipulation près ajoute : « Il n’y a aucun précédent dans l’histoire des manifestations organisées lors de ces festivités de Noël  ». Il oublie que la presse est toujours là en cette occasion et que le plus souvent ses représentants restent à dîner. Il est vrai que lui, les années précédentes, il s’éclipsait rapidement.

En tout cas, Artiganave, le sélectionneur médiatique, aura montré ce soir-là le peu de considération qu’il a envers le personnel municipal et surtout les organisateurs de cette soirée. Cette affaire a fait grand bruit, dépassant même les limites de notre cité. La plupart des commentaires et notamment ceux venant de personnalités éminentes sont très défavorables au maire de la cité mariale qui donne véritablement une mauvaise image de la ville fraternelle qu’il est censé incarner. La semaine prochaine, nous consulterons nos lecteurs pour savoir ce qu’ils en pensent.

Gérard Merriot