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Echos, Bruits et chuchotements…

lundi 22 avril 2013 par Rédaction

Artiganave : des procédés qui en disent long !

Nous revenons sur le droit de réponse que nous a demandé d’insérer l’irascible et intolérant maire de Lourdes et que nous avons publié le vendredi 19 avril 2013. Nous avions à peine mis en ligne ce droit de réponse que nous apprenions qu’Artiganave avait fait envoyer par son cabinet des mails aux conseillers municipaux lourdais et à une grande partie de la presse écrite et online. Bien évidemment, un seul son de cloche tintait aux oreilles de ses destinataires. Le procédé manquait déjà singulièrement d’élégance. Mais là ne s’est pas arrêtée cette action d’ "arrosage". Aux frais des contribuables lourdais, Artiganave a adressé par voie postale des courriers aux associations lourdaises, ainsi qu’à des élus, au conseil général, à la mairie de Tarbes, au conseil régional ?, à l’office de tourisme de Tarbes, à la préfecture, etc.. On ignore combien de courriers sont partis de la mairie de Lourdes. Le transparent maire de la cité mariale nous dira-t-il les destinataires de son courrier qui a d’ailleurs été fraîchement accueilli. Nombreuses en effet ont été les personnes qui nous apporté leur témoignage de sympathie et assuré de toute leur confiance (quel que soit leur bord politique pour les élus). Heureusement pour nous, presque tout le monde lit lourdes-infos.com. Il a donc été pris connaissance de nos réponses à la missive de l’actuel locataire de l’hôtel de ville qui règlent ses comptes avec l’argent public (utilisation du secrétariat et frais de timbres). Il faut vraiment que lui et son entourage soient aux abois pour se livrer à de tels procédés. Cela nous fait penser à un petit gamin de la maternelle qui s’est fait gifler par un camarade et qui va se plaindre à la maîtresse. Jusqu’où ira Artiganave pour essayer de contrôler la barre du navire municipal qui lui échappe depuis pas mal de temps ? En tout cas, il faut s’attendre à tout de sa part et de sa squelettique équipe dans les prochains mois. Ci-dessous on entre plus en détail sur nos réponses faites consécutivement à son courrier de « pleurnicheur ».

Observations à l’adresse d’Artiganave et de ses conseils

Malheureusement la réponse d’"Arti" ne nous aura apporté aucune explication, ni raison concrète sur notre mise à l’écart de la communication municipale.

En s’appuyant sur de simples allégations mensongères, le maire aura essayé en vain de retourner la situation à son avantage.

En droit français la charge de la preuve incombe à celui qui se plaint.

Dans sa réponse, Artiganave ne nous amène aucun élément de preuve qui confirmerait sa réaction.

On le met au défi :

De nous citer un ou plusieurs articles diffamatoires.

De démontrer que nos consultations en ligne sont faussées.

De produire une copie d’une éventuelle pétition.

Autant d’éléments qui auraient été un commencement de preuve, rien de cela.

En conséquence une accusation vide de tout élément, qui de plus a été diffusée largement, et qui tombe sous le coup de la distorsion malveillante de faits, de la diffamation.

(Pour mémoire : Les allégations mensongères sans rapport avec la réputation mais néanmoins susceptibles de porter préjudice relèvent de la loi sur la distorsion malveillante des faits, laquelle consiste à publier des déclarations dont l’éditeur sait qu’elles sont fausses et qui entraînent pour le demandeur un préjudice financier.)

Dans une prochaine rubrique, nous évoquerons une possible piste remontant à une conférence de presse du mois d’août 2009 qui s’était tenue à la mairie et qui concernait le FCL XV. Elle pourrait expliquer beaucoup de choses.