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Samedi 31 janvier 2004
Le Derby 3000 est, depuis cette année, un "open" international inscrit au calendrier de la fédération internationale. Ce matin, on a recensé 78 inscrits pour les seniors et vétérans avec une forte participation basque et des Britanniques. C'était la première fois que la fédération basque de la montagne participait à une course de ce niveau. Dimanche matin, le départ sera donné pour un nouvel itinéraire avec toutes les catégories : seniors, vétérans, juniors et cadets. Chez les juniors nous attendons un bon résultat des jeunes d'Amitié et Nature Tarbes. (Textes de Louis Dollo, Kairn) - Derby 2004 par l'image
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Vendredi 30 janvier 2004
Martin Malvy veut faire de ce scrutin une élection sanction à l'égard du gouvernement Raffarin. Il entend également défendre son bilan et développer son projet pour les 6 ans à venir : gratuité des livres scolaires du secondaire, co-financement des emplois associatifs, conférence régionale sur le désenclavement, développement de la recherche, augmentation de 50% du budget de la recherche et mise en place du dispositif de soutien aux pays et agglomérations à travers l'aide au financement de 30 parcs d'activité d'ici cinq ans.
- Elite 3 : Fabien Rey, Rodolphe d'Estampes, Arnaud Dassain, Philippe Gallo, Franck Parolin, Loïc Salvat, René Mandri (espoir) - Nationaux :Yuri Karpechin (espoir), Joël Pujol, Fabrice Barus, Benoît Lagorce, Charly Pagotto, Mickaël Cailleta, Pierre Dumont, Jean-Sébastien Abbal, Régis Fabarez - Régionaux : Damien Gardey (espoir), Julien Jorro (espoir), Jérémy Alègre (espoir), Nicolas Bouvier-Gaz (espoir), Jean-Philippe Cabalou (espoir), Sylvain Lacroux (espoir), Jérôme Bayen (espoir), Julien Far (espoir), Frédéric Arhancet, David Cazala,Stéphane Courrèges, Manuel Lafforgue, Alexandre Rey, Jean-Pierre Soulier, Mickaël Juignet, Oscar Martinet, Jean-François Pinot, Stéphane Berthe, Pascal Belloc,Jérôme Kaffi, Philippe Casanave, Stéphane Cazala,Alexandre Aubiès, Raphaël Cres, Christian Oustaloup, Ludovic Royo, Bernard Cazeaux, Gérard Sembres, Frédéric Lassus, Stéphane Giral, Jean-Pierre Arhancet, Bruno Rivière, Jean-Luc Dumas, Nicolas Bruno - Juniors: Anthony Rivière, Ludovic Duclos, Ludovic Habas, Loïc Jouanicou, Ludovic Basso - Cadets : Stéphane Boulangeot, Julien Fourcade, Jérôme Dithurbide, Benjamin Alègre, Camille Bégué - Minimes : Thomas Fatoux, Johan Trouches, Julien Quessette, Lilian Manse, Florian Bonneau - Féminines : Laëticia Gomez, Marlène Mengelle - Ecole de cyclisme : Marine Cazala, Cédric Lassus, Loïc Sembres, Carl Cazala, Nicolas Trouches, Alexandre Lassus - Commissaires : Stéphane Giral (nationale), Marylise Cros (nationales), Jean Giral (régionale), Jean-Louis Aubiès (régionale)
Vainqueur (83-71) à l'aller en Grèce, l'Elan conserve toutefois une différence de points particulière positive par rapport à son adversaire du jour.
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Jeudi 29 janvier 2004
Les arsenalistes restent sceptiques. Daniel Gerbault, de l'intersyndicale, rappellait que Michèle Alliot-Marie, la ministre de la Défense, avait annoncé la création de 300 emplois en réponse à une question écrite de Jean Glavany. "Il n'en reste que 150, relève-t-il. Nous ne lâcherons pas la proie pour l'ombre. Sagem ne peut pas être le caveau funéraire de l'Arsenal ! Oui à sagem mais attention à la finalité. Un potentiel de création de 150 emplois ne se négocie pas en échange de la suppression de 600 autres emplois".
A Tarbes, la diversification est déjà entrée dans les faits."On va élargir les occasions d'ouverture au public, consolider le rôle de la médiathèque, essayer également au niveau de l'initiation d'en faire profiter davantage les jeunes Tarbais, d'apporter une partie plus pédagogique à destination des élèves, et renforcer le potentiel sportif", a souligné Michel Doucet, le directeur des haras de Tarbes.
- Elite 3 : Fabien Rey, Rodolphe d'Estampes, Arnaud Dassain, Philippe Gallo, Franck Parolin, Loïc Salvat, René Mandri (espoir) - Nationaux :Yuri Karpechin (espoir), Joël Pujol, Fabrice Barus, Benoît Lagorce, Charly Pagotto, Mickaël Cailleta, Pierre Dumont, Jean-Sébastien Abbal, Régis Fabarez - Régionaux : Damien Gardey (espoir), Julien Jorro (espoir), Jérémy Alègre (espoir), Nicolas Bouvier-Gaz (espoir), Jean-Philippe Cabalou (espoir), Sylvain Lacroux (espoir), Jérôme Bayen (espoir), Julien Far (espoir), Frédéric Arhancet, David Cazala,Stéphane Courrèges, Manuel Lafforgue, Alexandre Rey, Jean-Pierre Soulier, Mickaël Juignet, Oscar Martinet, Jean-François Pinot, Stéphane Berthe, Pascal Belloc,Jérôme Kaffi, Philippe Casanave, Stéphane Cazala,Alexandre Aubiès, Raphaël Cres, Christian Oustaloup, Ludovic Royo, Bernard Cazeaux, Gérard Sembres, Frédéric Lassus, Stéphane Giral, Jean-Pierre Arhancet, Bruno Rivière, Jean-Luc Dumas, Nicolas Bruno - Juniors: Anthony Rivière, Ludovic Duclos, Ludovic Habas, Loïc Jouanicou, Ludovic Basso - Cadets : Stéphane Boulangeot, Julien Fourcade, Jérôme Dithurbide, Benjamin Alègre, Camille Bégué - Minimes : Thomas Fatoux, Johan Trouches, Julien Quessette, Lilian Manse, Florian Bonneau - Féminines : Laëticia Gomez, Marlène Mengelle - Ecole de cyclisme : Marine Cazala, Cédric Lassus, Loïc Sembres, Carl Cazala, Nicolas Trouches, Alexandre Lassus - Commissaires : Stéphane Giral (nationale), Marylise Cros (nationales), Jean Giral (régionale), Jean-Louis Aubiès (régionale)
Vainqueur (83-71) à l'aller en Grèce, l'Elan conserve toutefois une différence de points particulière positive par rapport à son adversaire du jour.
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Mercredi 28 janvier 2004
A Tarbes, la diversification est déjà entrée dans les faits."On va élargir les occasions d'ouverture au public, consolider le rôle de la médiathèque, essayer également au niveau de l'initiation d'en faire profiter davantage les jeunes Tarbais, d'apporter une partie plus pédagogique à destination des élèves, et renforcer le potentiel sportif", a souligné Michel Doucet, le directeur des haras de Tarbes.
Sur le plan de la fréquentation, l'année 2003 a été noire avec une baisse du trafic commercial de 14,71%. A noter que le trafic charter a légèrement augmenté. La première destination a été Dublin. La compagnie Air-Méditerranée, basée à Ossun, a transporté 65 300 passagers. 2003 s'est traduite pour l'aéroport par une perte de recettes de 748 000 euros.
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Mardi 27 janvier 2004
Cette audience solennelle a été marquée par l'installation de Gérard Aldigé, nouveau procureur de la République. Anecdote : la vice-procureure Claudie Viaud avait déjà installé Gérard Aldigé au poste de procureur à Bergerac, il y a une quinze d'années. Dans son allocution à l'adresse du nouveau procureur, elle a rappelé l'équipe soudée et solide qu'avait su former son prédécesseur Yves Saint-Macary. Elle est persuadée qu'il en sera de même avec le successeur. Gérard Aldigé a d'abord rendu hommage à Yves Saint-Macary et continuera le travail entrepris par ce dernier.
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Lundi 26 janvier 2004
Pour l'inauguration de la bodega, les Tarbais pensaient faire la fête. Raté ! Quelques joueurs se sont fait remonter les pendules par le président Tarrène. Jean-Pierre Davant, président de la MATMUT et important sponsor du club, n'a pas été tendre à son tour. D'aucuns prédisent un avenir incertain au coach Alex Martinez. Au classement, le TPR est 6e et se trouve sous la menace de quatre équipes, à seulement 1 point.
Les points : Tarbes : 3 pénalités Irving (4, 60, 68) Bordeaux-Bègles : 1 essai Brugnaud (61), 1 transformation Rieger, 2 pénalités Rieger (40+3, 56) Exclusions temporaires - Tarbes : Bria (52, brutalité) - Bordeaux-Bègles: Andrieu (76, brutalité)
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Dimanche 25 janvier 2004
Pour l'inauguration de la bodega, les Tarbais pensaient faire la fête. Raté ! Quelques joueurs vont se faire remonter les pendules...
Les points : Tarbes : 3 pénalités Irving (4, 60, 68) Bordeaux-Bègles : 1 essai Brugnaud (61), 1 transformation Rieger, 2 pénalités Rieger (40+3, 56) Exclusions temporaires - Tarbes : Bria (52, brutalité)
- Bordeaux-Bègles: Andrieu (76, brutalité) A Calais : TGB bat Calais 83 à 71(15-23, 40-44,
61-67). Arbitres : MM.Gueu et Madec. Environ 300 personnes.
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Samedi 24 janvier 2004
Les points : Tarbes : 3 pénalités Irving (4, 60, 68) Bordeaux-Bègles : 1 essai Brugnaud (61), 1 transformation Rieger, 2 pénalités Rieger (40+3, 56) Exclusions temporaires - Tarbes : Bria (52, brutalité)
- Bordeaux-Bègles: Andrieu (76, brutalité)
Les élus présents ont tenu à préciser qu'ils n'étaient pas contre la présence de l'ours mais tout simplement pour le retrait de cet ours atypique. Il semblerait que rien ne devrait se passer avant le conseil départemental du pastoralisme. Bien que les manifestants ne cachaient pas leur exaspération et que rien ne peut être exclu...
A noter que c'est aujourd'hui que le TPR inaugurera sa bodega, en présence de Bernard Lapasset, président de la FFR et peut-être aussi de Serge Blanco, le président de la Ligue Nationale de Rugby.
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Vendredi 23 janvier 2004
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Jeudi 22 janvier 2004
Skydesign SAS, filiale du groupe français, avait prévu que le lancement de ce programme aéronautique aurait lieu dès le mois de janvier 2004, sur la zone tertiaire de Pyrène Aéro-Pôle. On y attendait une première équipe dans des locaux en location, avant d'entamer la construction d'une usine de 14.000 m2 dont les travaux auraient dû débuter au cours du premier trimestre. Camille Denagiscarde, directeur général de la CCI, qui soutient ce projet, a évoqué le retard pris dans le calendrier. Il assure que le projet industriel est prêt ainsi que les financements privés mais qu' il reste à mobiliser des fonds publics sous forme d'avance remboursable. Et de faire observer que ce chantier nécessite, avant recettes, un préfinancement important sachant que les rentrées ne se feront que lorsque l'avion sortira des chaînes d'assemblage. Le projet remplira-t-il donc les conditions d'éligibilité aux avances remboursables? Rien n'est assuré, d'autant que, pour l'État, "le programme Airbus est la priorité des priorités". Le skylander vu par le PDG Serge Bitboul Dans un chat avec les internautes qui a eu lieu le 16 septembre 2003, sur le site de Geci-International, on pouvait découvrir ce que pensait Serge Bitboul PDG de ce projet : "Le Skylander est un projet totalement nouveau qui fait suite à des études de marché réalisées entre 95 et 98 et qui répond à un besoin des pays émergents dans une configuration passager et cargo et des pays occidentaux dans sa configuration fret. Les caractéristiques principales sont un avion de 3,3 tonnes de charge utile bi-turbo propulseur à ailes hautes non pressurisé et à train fixe, très versatile et de grande autonomie (2000 kilomètres). Pouvant décoller et atterrir sur des terrains sommaires, le Skylander est totalement adapté aux pays en voie de développement qui souhaitent désenclaver certaines régions sans toutefois investir dans des infrastructures aéroportuaires coûteuses. Le prix compétitif de l'avion (3,6 millions de dollars) ainsi que le marché qui est estimé à plus de 12 milliards de dollars, donnent de larges perspectives". 4% du chiffre d'affaires "Quelle proportion du budget de GECI sera-t-il consacré au développement industriel du Skylander ?", interrogeait un internaute. Réponse de Serge Bitboul : "Il est prévu un budget de 4% du chiffre d'affaires affecté au projet Skylander. Le projet se fera largement dans un contexte d'externalisation maximale et nous sommes actuellement en discussion avancée avec d'une part les institutions de la région Midi Pyrénées pour des aides sur ce projet, d'autre part avec des industriels intéressés à y participer. La société finalise la phase de conception et de définition du projet et se concentre sur le montage du consortium". A ce moment-là, n'y avait-il pas déjà du retard dans le projet ? Les propos du PDG peuvent le laisser penser.
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Mercredi 21 janvier 2004
En matière de transport, la Traversée Centrale des Pyrénées (TCP) a alimenté les débats. Mais là, c'est un dossier qui n'a pas fini de faire couler beaucoup d'encre et de salive. A noter aussi la part importante du Giat dans les ressources fiscales de l'agglomération tarbaise (14,4%). Qu'adviendra-t-il si le projet 2006 - avec la suppression de plus de 600 emplois - venait à voir le jour ? Les compensations seront-elles à la hauteur ?
EDF est une grande maison que l'on nous envie à l'extérieur. La Droite ne doit pas profiter de sa représentation dominante pour en changer l'esprit. Je suis donc à la fois opposé à l'ouverture du marché telle qu'elle se développe et contre la privatisation. "
Au-delà des salaires et de l'emploi, cette grève, la première de l'année, est également l'occasion pour les syndicats de réaffirmer leur opposition à la mise en place d'un service minimum et à "toute remise en cause du droit de grève". Hier, le ministre des Transports Gilles de Robien a affirmé qu'il ne renoncerait "certainement pas" à ce chantier, rappelant qu'il s'agissait d'une "priorité présidentielle".
En l’absence de M. Ferry, Monsieur Devedjian, Ministre délégué aux libertés locales lui a répondu qu’à la prochaine rentrée scolaire, les effectifs augmenteraient très modestement de 56 élèves et que le taux d’encadrement des élèves dans les Hautes-Pyrénées resterait cependant, très élevé. Néanmoins, la politique engagée par le Gouvernement, qui consiste notamment à préserver le tissu scolaire en milieu rural serait poursuivie.
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Mardi 20 janvier 2004
Depuis 6h ce matin, les agents d'EDF Béarn-Bigorre bloquent le poste de Bastillac à Tarbes, ce qui permet à une grande partie des habitants du chef-lieu de bénéficier d'un tarif réduit.
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Lundi 19 janvier 2004
Michel Bilaud, préfet des Hautes-Pyrénées, avait annoncé qu'il allait adresser un courrier aux maires des cantons de Luz et d'Argelès après les actions engagées par les opposants à la présence de l'ours Luz dans le secteur. Il vient donc de faire parvenir sa lettre datée du 13 janvier. Il souligne en préambule que depuis son arrivée "la passion étouffait trop souvent la passion". Et d'ajouter: "L'engrenage des surenchères et des extrémismes me semble malheureusement continuer de prévaloir sur toute recherche de solution raisonnable". Et de citer les barrages routiers mis en place dernièrement qui ont surtout pénalisé l'économie touristique montagnarde. Puis il évoque l'éventuel refus des maires d'assurer l'organisation des prochaines élections, "et tout cela au nom du refus de l'ours". "Je prends acte de ces positions, écrit-il, que j'interprète encore comme une surréaction aux évènements de ces derniers mois, quand l'ours a multiplié les prédations, mais aussi comme un appel au dialogue et à la négociation auxquels je suis moi-même par-dessus tout attaché". "Le plus grand obstacle à surmonter, peut-être le seul, réside dans le caractère outrancier mis par certains dans l'expression de leurs revendications. Il est non seulement faux mais méprisant de mettre en cause la compétence et la volonté d'aboutir de ceux qui ont en charge le piégeage puis l'équipement télémétrique de l'ours actuellement présent dans la vallée de Luz. Il est faux et caricatural de prétendre que les modalités d'élevage en cours depuis quelques dizaines d'années dans cette zone sont incompatibles avec toutes mesures de prévention et de protection contre les attaques de l'ours. Il est faux enfin de prétendre que l'ours n'est pas à sa place dans les Pyrénées car ours et activité pastorale ne seraient pas compatibles." "La conservation de l'espèce ours brun dans le massif pyrénéen relève d'engagements internationaux auxquels la France ne soustraira pas et dont ne peut s'affranchir aucune partie du département. Tout un dispositif financier et technique est disponible pour organiser et garantir la préservation de la biodiversité et les activités pastorales. De la concertation peuvent naître d'autres idées et la mise en œuvre de nouveaux moyens." (...) Si des difficultés particulières surviennent, et le comportement jusqu'à une date récente de l'ours dit "Luz" en est une réelle, il convient de définir dans la concertation les mesures adaptées qui jamais ne se résoudront en l'exclusion de l'un ou l'autre des acteurs du débat, à savoir l'animal ou l'homme". "Les réactions passionnelles des uns ou des autres ne contribuent en rien à résoudre un problème dont la solution est à notre portée et de notre responsabilité collective. Les outrances actuelles ne peuvent qu'égarer certains esprits et ne servent pas l'image, ni l'économie des Hautes-Pyrénées". Le préfet Michel Bilaud propose de sortir de la logique infernale du refus radical et de l'échec et de ramener la sérénité dans les esprits, tout en garantissant l'activité pastorale dans le respect des milieux naturels et de la biodiversité.
Par ailleurs, le préfet va proposer au président du Conseil général qui le copréside à ses côtés de réunir le comité départemental du pastoralisme et de la gestion de l'espace montagnard, "afin d'ouvrir la concertation et sortir de la spirale infernale et sans issue du tout ou rien". En conclusion de son courrier, le préfet des Hautes-Pyrénées compte faire entendre la voix de la modération et de la sagesse "trop étouffée jusqu'à ce jour par l'excès des passions". Il dit avoir besoin de toutes les bonnes volontés.
Les Points : Lyon OU: 5 pénalités Bellot (17, 29,
37, 55, 66) Exclusion temporaire : Tarbes: Bria (36) - Lyon : Mabillon (80e)
Les résultats : Montpellier- Calais : 70-76 Le classement LNF
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Dimanche 18 janvier 2004
Michel Bilaud, préfet des Hautes-Pyrénées, avait annoncé qu'il allait adresser un courrier aux maires des cantons de Luz et d'Argelès après les actions engagées par les opposants à la présence de l'ours Luz dans le secteur. Il vient donc de faire parvenir sa lettre datée du 13 janvier. Il souligne en préambule que depuis son arrivée "la passion étouffait trop souvent la passion". Et d'ajouter: "L'engrenage des surenchères et des extrémismes me semble malheureusement continuer de prévaloir sur toute recherche de solution raisonnable". Et de citer les barrages routiers mis en place dernièrement qui ont surtout pénalisé l'économie touristique montagnarde. Puis il évoque l'éventuel refus des maires d'assurer l'organisation des prochaines élections, "et tout cela au nom du refus de l'ours". "Je prends acte de ces positions, écrit-il, que j'interprète encore comme une surréaction aux évènements de ces derniers mois, quand l'ours a multiplié les prédations, mais aussi comme un appel au dialogue et à la négociation auxquels je suis moi-même par-dessus tout attaché". "Le plus grand obstacle à surmonter, peut-être le seul, réside dans le caractère outrancier mis par certains dans l'expression de leurs revendications. Il est non seulement faux mais méprisant de mettre en cause la compétence et la volonté d'aboutir de ceux qui ont en charge le piégeage puis l'équipement télémétrique de l'ours actuellement présent dans la vallée de Luz. Il est faux et caricatural de prétendre que les modalités d'élevage en cours depuis quelques dizaines d'années dans cette zone sont incompatibles avec toutes mesures de prévention et de protection contre les attaques de l'ours. Il est faux enfin de prétendre que l'ours n'est pas à sa place dans les Pyrénées car ours et activité pastorale ne seraient pas compatibles." "La conservation de l'espèce ours brun dans le massif pyrénéen relève d'engagements internationaux auxquels la France ne soustraira pas et dont ne peut s'affranchir aucune partie du département. Tout un dispositif financier et technique est disponible pour organiser et garantir la préservation de la biodiversité et les activités pastorales. De la concertation peuvent naître d'autres idées et la mise en œuvre de nouveaux moyens." (...) Si des difficultés particulières surviennent, et le comportement jusqu'à une date récente de l'ours dit "Luz" en est une réelle, il convient de définir dans la concertation les mesures adaptées qui jamais ne se résoudront en l'exclusion de l'un ou l'autre des acteurs du débat, à savoir l'animal ou l'homme". "Les réactions passionnelles des uns ou des autres ne contribuent en rien à résoudre un problème dont la solution est à notre portée et de notre responsabilité collective. Les outrances actuelles ne peuvent qu'égarer certains esprits et ne servent pas l'image, ni l'économie des Hautes-Pyrénées". Le préfet Michel Bilaud propose de sortir de la logique infernale du refus radical et de l'échec et de ramener la sérénité dans les esprits, tout en garantissant l'activité pastorale dans le respect des milieux naturels et de la biodiversité.
Par ailleurs, le préfet va proposer au président du Conseil général qui le copréside à ses côtés de réunir le comité départemental du pastoralisme et de la gestion de l'espace montagnard, "afin d'ouvrir la concertation et sortir de la spirale infernale et sans issue du tout ou rien". En conclusion de son courrier, le préfet des Hautes-Pyrénées compte faire entendre la voix de la modération et de la sagesse "trop étouffée jusqu'à ce jour par l'excès des passions". Il dit avoir besoin de toutes les bonnes volontés.
Les résultats : Montpellier- Calais : 70-76
Les Points : Lyon OU: 5 pénalités Bellot (17, 29,
37, 55, 66)
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Samedi 17 janvier 2004
"On enfonce des portes ouvertes", "Ce ne sont que des banalités", "C'est nul !", voilà le genre de remarques formulées par le premier magistrat tarbais avant de présenter ses propositions où figurent entre autres : la traversée centrale des Pyrénées, la liaison Tarbes-Toulouse en 40 minutes par train pendulaire, une demande de réflexion sur le site de Giat et d'Alstom dans vingt ans, l'harmonisation de l'offre commerciale, la promotion touristique, le concept de Tarbes ville de congrès, un pôle agroalimentaire. Jean Glavany a rétorqué que soit respecté le travail effectué par le conseil de développement composé de personnes de tous bords. Le président du Grand Tarbes n'a pas souhaité que le vote de ce programme d'actions soit reporté, ce que réclamait Gérard Trémège. Finalement, devant l'insistance de Jean Glavany à faire étudier les amendements, Gérard Trémège, suivi des élus tarbais, prenaient la direction de la sortie, en expliquant : "C'est du bricolage, nous partons".
Montpellier- Calais : 70-76
Les Points : Lyon OU: 5 pénalités Bellot (17, 29,
37, 55, 66)
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Vendredi 16 janvier 2004
Une heure plus tard, Martin Malvy prenait le chemin du siège de la communauté du Grand Tarbes où l'accueillait son autre ami-président Jean Glavany. Troisième signature : celle du contrat d’Agglomération du "Grand Tarbes" année 2. Montant des investissements : 22 millions d'euros. L'aide la plus importante est apportée par l'Europe avec plus de 7,1 millions d'euros, ensuite par l'Etat (3,8 millions d'euros, le département (1,9 million d'euros et la région 1,4 million d'euros. Le Grand Tarbes est le premier contrat d'agglomération signé dans la région Midi-Pyrénées. Ensuite, le programme prévoyait : la remise officielle des clés du camion de la Banque alimentaire des Hautes-Pyrénées, à la mairie d'Orleix; le Conseil régional ayant participé à l’achat d’un camion frigorifique utilisé par la Banque alimentaire des Hautes-Pyrénées pour effectuer sa collecte de produits. Cette année, il financera une 4e chambre froide destinée à la conservation des denrées. Changement de direction avec la visite du Centre universitaire Tarbes-Pyrénées : au menu : chantier STAPS (sciences et techniques des activités physiques et sportives), chantier de la Maison de l’escrime et présentation du projet Bastillac – Université de Pau et des Pays de l’Adour. Le parcours du combattant se poursuivait par la visite du Centre régional d’innovation et de transfert de technologies (CRITT III) – ENIT. L’Ecole Nationale d'Ingénieurs de Tarbes qui accueille le CRITT bénéficie d’un programme de travaux d’un montant de 2,7 millions d’euros dans le cadre du contrat de plan Etat-Région. Le Conseil régional participe à ce programme à hauteur de 929 938 euros. Plusieurs opérations ont déjà été menées à bien comme la construction de locaux pour le Centre de ressources et compétences et la réhabilitation des façades. D’autres sont à venir : l’extension du bâtiment de l’administration, la 3e tranche de la maison des étudiants, l’aménagement de l’accès au site. Le Conseil régional a également voté en décembre dernier le financement d’un projet d’équipement pour le Centre de ressources et de compétences. Une demi-heure plus tard, au programme du marathon de Martin Malvy figurait la visite du futur site du DUT SERECOM (services et réseaux de communication) et la présentation de la future plate-forme photovoltaïque – IUT de Tarbes –Université Paul Sabatier. Ouf ! C'en était fini pour Tarbes mais c'était ensuite Lourdes et les hôteliers locaux qui l'attendaient au palais des congrès...
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Jeudi 15 janvier 2004
Une heure plus tard, Martin Malvy prenait le chemin du siège de la communauté du Grand Tarbes où l'accueillait son autre ami-président Jean Glavany. Troisième signature : celle du contrat d’Agglomération du "Grand Tarbes" année 2. Ensuite, le programme prévoyait : la remise officielle des clés du camion de la Banque alimentaire des Hautes-Pyrénées, à la mairie d'Orleix; le Conseil régional ayant participé à l’achat d’un camion frigorifique utilisé par la Banque alimentaire des Hautes-Pyrénées pour effectuer sa collecte de produits. Cette année, il financera une 4e chambre froide destinée à la conservation des denrées. Changement de direction avec la visite du Centre universitaire Tarbes-Pyrénées : au menu : chantier STAPS (sciences et techniques des activités physiques et sportives), chantier de la Maison de l’escrime et présentation du projet Bastillac – Université de Pau et des Pays de l’Adour. Le parcours du combattant se poursuivait par la visite du Centre régional d’innovation et de transfert de technologies (CRITT III) – ENIT. L’Ecole Nationale d'Ingénieurs de Tarbes qui accueille le CRITT bénéficie d’un programme de travaux d’un montant de 2,7 millions d’euros dans le cadre du contrat de plan Etat-Région. Le Conseil régional participe à ce programme à hauteur de 929 938 euros. Plusieurs opérations ont déjà été menées à bien comme la construction de locaux pour le Centre de ressources et compétences et la réhabilitation des façades. D’autres sont à venir : l’extension du bâtiment de l’administration, la 3e tranche de la maison des étudiants, l’aménagement de l’accès au site. Le Conseil régional a également voté en décembre dernier le financement d’un projet d’équipement pour le Centre de ressources et de compétences. Une demi-heure plus tard, au programme du marathon de Martin Malvy figurait la visite du futur site du DUT SERECOM (services et réseaux de communication) et la présentation de la future plate-forme photovoltaïque – IUT de Tarbes –Université Paul Sabatier. Ouf ! C'en était fini pour Tarbes. Il était temps, sans perdre le nord, d'aller
au sud, direction Lourdes. Non pas vers les Sanctuaires mais vers le
palais des Congrès où une réunion avait été
prévue, à 17h, avec les hôteliers lourdais. Un public
pas toujours facile à appréhender. On en saura davantage
dans les prochains flashs infos de la rubrique lourdaise.
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Mercredi 14 janvier 2004
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Mardi 13 janvier 2004
Hier matin à Tarbes, 600 employés de Giat ont manifesté pour soutenir leurs camarades syndicalistes centraux, en réunion à Satory. "La mobilisation ne faiblit pas", se félicitait Daniel Gerbault, porte-parole de l'intersyndicale. Par ailleurs, on a bien conscience que ces négociations qui s'ouvrent sont sans doute les dernières. Plusieurs interruptions de séance ont perturbé la réunion qui s'est tenue hier après-midi, à Satory. L'absence de Luc Vigneron, le PDG de Giat-Industrie et celle des représentants du Ministère de la Défense ont irrité les syndicalistes. Par ailleurs, la direction a refusé d'aborder le volet industriel, ce qui fait partie des revendications prioritaires des salariés du groupe.
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Lundi 12 janvier 2004
A Aurillac (stade Jean-Alric): Tarbes bat Aurillac 19 à 17 (6-9) - Terrain: souple et glissant - Temps: pluvieux- Spectateurs: 3000 environ - Arbitre: M. Thomas (Drôme-Ardêche) Les points : Aurillac : 1 essai Bernau (76), 4 pénalités Rinck (4, 11, 34, 60) Tarbes : 1 essai Charvis (49), 1 transformation Irving, 4 pénalités Irving (15, 38, 55, 73) Exclusions temporaires: Aurillac: Domingo (24) Tarbes: Allam (24), Bria (65)
La réaction d'Arnaud Labbe : « Quand Christophe Morel a attaqué dans l'avant-dernier tour, je n'ai pas pu y aller. J'ai fait l'effort ensuite pour revenir. Mais John (Gadret) a démarré et et je n'avais plus assez de forces pour engager la poursuite derrière lui. J'ai fait beaucoup d'efforts, sans doute trop, en début de course. Si j'ai applaudi John en franchissant la ligne, c'est parce que je suis content pour lui. Nous nous connaissons bien, nous faisons chambre commune en équipe de France. C'est une consécration méritée pour lui. »
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Dimanche 11 janvier 2004
A Aurillac (stade Jean-Alric): Tarbes bat Aurillac 19 à 17 (6-9) - Terrain: souple et glissant - Temps: pluvieux- Spectateurs: 3000 environ - Arbitre: M. Thomas (Drôme-Ardêche) Les points : Aurillac : 1 essai Bernau (76), 4 pénalités Rinck (4, 11, 34, 60) Tarbes : 1 essai Charvis (49), 1 transformation Irving, 4 pénalités Irving (15, 38, 55, 73) Exclusions temporaires: Aurillac: Domingo (24) Tarbes: Allam (24), Bria (65)
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Samedi 10 janvier 2004
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Vendredi 9 janvier 2004
S'agissant des négociations, Jean-Pierre Aubert, délégué ministériel aux restructurations de la Défense, a annoncé hier que le ministère de la Défense tiendra la place qui lui revient dans les réunions prévues tout au long de la semaine prochaine.
L'avocat Loïc Béranger, président de "No Pasaran", a détaillé les incidences d'un projet "mortel" pour la vallée. Il a fait observer au départ que cette Traversée Centrale des Pyrénées était souhaitée par la province d'Aragon, le gouvernement espagnol et le Conseil régional Midi-Pyrénées. Les travaux dureraient une quinzaine d'années. Bonjour l'impact sur l'activité touristique ! L'heure est donc à la mobilisation et à l'action. L'objectif de l'association est d'atteindre les 500 adhérents. Et la mise en place de services bien structurés est à l'étude. Par ailleurs, d'aucuns ont suggéré de créer une liste aux élections régionales. "Cela, a-t-on entendu, obligerait les politiques à se positionner".
Jean-Claude Roch, président de la CCI, a souhaité que l'année 2004 soit l'année des entreprises. Pour Jean-Louis Cazaubon, président de la Chambre d'Agriculture, l'année 2003 est à oublier pour l'agriculture avec la période caniculaire. Une occasion de réfléchir au développement des ressources en eau. Pour Gérard Trémège, le maire de Tarbes, 2004 sera une année de défis où il faudra rassembler les énergies.
Marqueurs
: Fauthoux 5, Dragan 17, Darrigand, Foirest 18, Drozdov 14, Dubos 21,
Pietrus 3, Erdmann 7, Petro 2, Skelin 18, Renaud, Archibong
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Jeudi 8 janvier 2004
La requête de l'association s'appuyait sur deux éléments : la construction du supermarché dans un périmètre classé (avec le château et la briqueterie), et les nuisances qui en découlent : des livraisons intempestives, un parking utilisé comme une voie de passage, la construction d'un rond-point sous-dimensionné, et une architecture incongrue dans ce secteur classé. Des bons de soutien sont lancés auprès de la population.
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Mercredi 7 janvier 2004
Parmi les autres projets avancés par la municipalité : le projet muséographique 2004-2007. Le Jardin Massey abritera la collection des Beaux-Arts et des hussards. Par ailleurs, la "clinique Courty" sera rénovée et accueillera les archives municipales ainsi que l'extension de l'École des arts et céramiques. Poursuite également des travaux au Carmel. Au printemps : coup d'envoi de la construction d'une crèche de 55 places. Poursuite de la 4e tranche du réaménagement de la mairie, avec réfection des bureaux et de la salle du conseil municipal. On sait d'autre part que l'ancien cinéma Le Rex deviendra, en 2004-2005, un hôtel 3/4 étoiles de 90 chambres destiné à accueillir des congressistes. Il est réalisé par investissement privé en collaboration avec la ville et la Semi. Dans le cadre du programme de rénovation urbaine, sur le quartier Nord, la rue Alsace-Lorraine est inscrite dans la première tranche des travaux . Viendra ensuite l'aménagement du stade de Laubadère et du gymnase de la Providence. A la Gespe, des agencements seront effectués au centre culturel et la place André-Guerlin sera aménagée. Le plan lumière, engagé depuis 3 ans, sera poursuivi. Il aura permis , en 2006, de renouveler 80 % des points de la ville.
La requête de l'association s'appuyait sur
deux éléments : la construction du supermarché
dans un périmètre classé (avec le château
et la briqueterie), et les nuisances qui en découlent : des livraisons
intempestives, un parking utilisé comme une voie de passage,
la construction d'un rond-point sous-dimensionné, et une architecture
incongrue dans ce secteur classé. Des bons de soutien sont lancés
auprès de la population.
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Mardi 6 janvier 2004
Les abonnés au très haut débit
disposeront de deux types de service. Les uns seront gratuits, comme
des enseignements dispensés par divers espaces de formation (cours
d'université disponibles à tout moment, inspection académique
etc...). Mais aussi de la musique, des jeux éducatifs, des mise
en ligne avec les administrations, des liens avec les associations locales...
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Lundi 5 janvier 2004
- La patinoire, installée sur le parvis de l'hôtel de ville de Tarbes, a attiré 12 000 personnes. Un succès qui confirme l'engouement pour la pratique de ce sport, assez peu rentable néanmoins. Le déficit serait d'environ 40 000 euros. A la charge de la municipalité. - Les deux concerts du Nouvel An donnés par l'Ensemble Intsrumental dirigé par Jacques Di Constanzo, ont obtenu un vif succès. Le public est venu nombreux et a beaucoup apprécié la musique viennoise.
Les abonnés au très haut débit
disposeront de deux types de service. Les uns seront gratuits, comme
des enseignements dispensés par divers espaces de formation (cours
d'université disponibles à tout moment, inspection académique
etc...). Mais aussi de la musique, des jeux éducatifs, des mise
en ligne avec les administrations, des liens avec les associations locales...
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Dimanche 4 janvier 2004
Classements Top 16 après la 7e journée
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Samedi 3 janvier 2004
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Vendredi 2 janvier 2004
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Jeudi 1er janvier 2004
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